Pour beaucoup de participants, la barrière horaire est la hantise de leur journée, générant beaucoup de stress.
Ces barrières sont pourtant nécessaires et indispensables. Ne faut il pas penser aux bénévoles de fin de parcours, postés des heures durant, dans des conditions pas toujours faciles?
Elles permettent également de garder un esprit « compétition » et « dépassement de soi », elles sont un maillon de la sécurité d’une telle épreuve.
En 2012, sur l’Ultra Tour, 2 d’entre elles se sont révélées incohérentes, provoquant de nombreuses éliminations, qui resteront un des points négatifs du millésime.
Pour éviter ce scénario, elles ont été revues, pour permettre à un plus grand nombre de franchir la ligne d’arrivée, en moins de 26h00 d’effort.
Les calculs sont effectués sur des « distances relatives » (qui transforment le D+, en kilomètres): les vitesses affichées, sont donc à considerer sur terrain plat).